Entrevue avec la nouvelle coordonnatrice aux communications de votre Fondation!

Entrevue avec la nouvelle coordonnatrice aux communications de votre Fondation!

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Marie-Ève Richer est la nouvelle coordonnatrice aux communications de la Fondation de l'Hôpital du Suroît. Riche en expériences professionnelles diverses, elle a accepté de se prêter au jeu de l'entrevue avec Michèle, la directrice générale de l'organisation. Portrait d'une femme inspirante, désireuse de faire la différence dans sa communauté.



Bonjour Marie-Ève! Tu as joins l'équipe de la Fondation de l'Hôpital du Suroît le 19 septembre dernier. Explique-nous pourquoi tu désirais joindre notre équipe?

Ayant grandi au sein d’une famille où les valeurs communautaires et d’entraide étaient au cœur de nos activités familiales, mes parents ont su les inculquer très tôt dans mon éducation. À travers mes expériences professionnelles et personnelles, je me suis grandement définie, mais cela m’a permis de confirmer certaines pensées et renforcir le travail d’éducation de mes parents.

Étant impliquée comme bénévole à la Fondation, j’ai découvert une équipe passionnée et très stimulante, mais aussi le monde de la philanthropie.

J’ai décidé de me joindre à l’équipe, car je souhaitais donner un sens à mon travail et répondre à mes objectifs, soit de faire la différence dans ma communauté autant dans ma vie personnelle que professionnelle.

Je suis très reconnaissance de la chance que j’ai de travailler pour la Fondation de l’Hôpital du Suroît.

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Comment as-tu connu la Fondation de l’Hôpital du Suroît ?

J’ai connu la Fondation de l’Hôpital du Suroît par le biais de mon entourage. À mon arrivée à Salaberry-de-Valleyfield, il y a de cela trois ans, je cherchais à m’impliquer concrètement dans ma communauté.

J’ai commencé comme bénévole dans la centrale d’appels de courtoisie. J’ai rapidement compris que la mission et les valeurs de la Fondation correspondaient étroitement avec les miennes.

C’est littéralement un coup de foudre que j’ai eu avec la Fondation de l’Hôpital du Suroît et avec l’équipe derrière.

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Ton histoire la plus marquante en lien avec le bénévolat que tu as fait pour la Fondation de l’Hôpital du Suroît, c’est quoi ?

J’ai LA meilleure histoire. Durant le confinement, la Fondation de l'Hôpital du Suroît a été très active pour les aînés. D’ailleurs, c’est de cette façon que j’ai commencé mon bénévolat lors de la centrale d’appels pour les aînés afin de briser de l’isolement. Durant cette période, j’ai appelé des dizaines de personnes.

Chaque appel était différent et si unique. Puis, je suis tombé sur Madame Gagnon avec une petite voix si douce. Dès le premier moment, j’ai ressenti une forte connexion. Notre première discussion aura duré plus d’une heure.

Avec l’autorisation de la Madame Gagnon et la Fondation, j’ai poursuivi mes appels durant plus d’un an. À chaque fois, nos discussions étaient tellement intéressantes. Politique, santé, éducation, rôle de la femme sont des thèmes qui animaient nos discussions. Pour moi, elle était une source d’inspiration.

Son partage d’histoire était tellement précieux à mes yeux. Pour moi, elle jouait le rôle de grand-mère. Cette dame qui a vécu plusieurs moments marquants de l’histoire du Québec, elle savait comment le transmettre tout en étant très au fait de l’actualité.

J’ai tellement appris. Lorsqu’on dit que les relations intergénérationnelles sont importantes, en voilà la preuve. Ce simple appel aura tout changé pour moi. Je suis éternellement reconnaissante de cette rencontre.
Malgré ton jeune âge, tu as déjà plusieurs voyages et expériences professionnelles à ton actif. Peux-tu nous raconter tes expériences les plus extrêmes/mémorables et pourquoi elles t’ont façonné professionnellement ?

Ah quelle bonne question ! J’ai tellement de bons souvenirs. À une certaine époque de ma vie, j’étais une citoyenne du monde.

Pendant plus de quatre ans, j’ai voyagé à travers le monde. Cette expérience a changé ma vie. Une des expériences extrêmes est certainement mes différents emplois, en Australie. Je travaillais dans les champs et je cueillais des fruits, comme des cerises, pommes, mandarines, citrouilles pour en nommer que quelques-uns.

Saviez-vous que ce travail est payé à la production ? Mes premières journées étaient tellement décevantes. Le travail était extrêmement exigeant et les journées étaient longues.

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RIGUEUR, CONSTANCE, CONCENTRATION, DÉBROUILLARDISE sont des éléments que j’ai appris dans ces expériences et qui définitivement me suivent encore dans ma carrière professionnelle.

Ah oui, sans vouloir trop parler de ce sujet, car je pourrais en parler durant des heures, mais une de mes meilleures expériences extrêmes et la plus mémorable est certainement en lien avec les arbres de Noël ;-) Les gens qui me connaissent comprendront clairement ;-) ! Pour les curieux, je vous invite à me poser plus de questions lorsque nous nous croiserons.

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Tu es en poste depuis quelques semaines déjà à la Fondation de l’Hôpital du Suroît. Dis-nous sur quels projets tu as le plus hâte de travailler? Qu’est-ce qui t’a le plus surpris dans ces quelques semaines passées à la Fondation ?

J’ai commencé ma première journée au début de la campagne du Biscuit sourire. Je peux vous dire que ça a commencé en FORCE.

Ce qui m’a le plus surprise, c’est le niveau de compétences des membres de l’équipe, mais aussi de voir comment chaque projet est orchestré dans les fins détails.

L’organisation est au rendez-vous, mais aussi la gestion du temps. L’efficience est au rendez-vous ! C’est même très surprenant ! L’équipe est structurée, avec une vision très claire.

Ah aussi, les mots « et toute autre tâche connexe » ne fait aucunement peur à l’équipe. Comme eux, j’ai hâte de changer le monde et je fonce dans cette nouvelle aventure avec détermination.

Comment penses-tu pouvoir améliorer les communications de la Fondation ?

Bien que les communications soient déjà très bien considérant le peu de ressources en place, je souhaite renforcir la présence de la Fondation de l’Hôpital du Suroît sur les réseaux sociaux. Plus particulièrement sur la plateforme TikTok.

Ce réseau social est intéressant pour aller à la rencontre des plus jeunes. D’ailleurs, j’ai comme aspiration de faire connaître le monde de la philanthropie auprès des plus jeunes générations. Utilement, je voudrais utiliser la plateforme comme moyen d’éducation populaire afin de faire connaître la mission et les différentes actions dans la communauté de la Fondation de l’Hôpital du Suroît.

D’ailleurs, je vous invite à vous abonner à nos différents réseaux sociaux pour ne rien manquer.

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Tu es résidente de Salaberry-de-Valleyfield. Qu’aimes-tu le plus de ta communauté ?

Étant native de Montréal, je ne connaissait pas cette relation de proximité avec mes concitoyens et c’est un des aspects que j’aime à Salaberry-de-Valleyfield.

J’adore rencontrer et discuter avec les gens. Je suis très surprise de la mobilisation des citoyens et de l’entraide. Ah! Et que dire de l’accès à l’eau.

Je suis très heureuse d’avoir choisi Salaberry-de-Valleyfield.

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Pour communiquer avec Marie-Ève :

communications@fondationhds.ca

(450) 377-3667

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